Être guidé par son cœur plutôt que par la peur permet d’atteindre plus facilement le bonheur. Situé dans l’agglomération de Toulouse à Saint Alban accessible en bus (Linéo 10), ou voiture. Mathieu Lapeyre psychanalyste vous invite à son cabinet. Les motifs de consultations sont multiples et variés. Mais, de manière générale, que l’on se trouve démunie face à une situation, qu’elle soit d’ordre relationnel, affective, familiale, sociale ou bien professionnelle, il est important de savoir que tous les motifs de consultation sont légitimes. Une démarche de psychothérapie s’adresse donc à toute personne qui ressente le besoin ou l’envie d’évoluer, d’apaiser son mal-être ou sa souffrance, de trouver de nouvelles issues face aux situations qu’elle rencontre. Je vous invite donc à venir apprendre à ouvrir votre cœur et à l’utiliser comme catalyseur à douceur, ce qui offrira de l’ampleur à votre bonheur.
Comment j’envisage notre rencontre ?
Mon approche est centrée autant autour du patient, de ses besoins, ses envies, mais aussi de ses craintes, que de son environnement, dans une démarche plus globale pour repenser le rapport entre : psychologie, nature et société, pour retrouver un équilibre sain entre soi et le monde dans lequel on vit, une forme de psychologie relationnelle. Il est important de respecter le rythme de la personne ainsi que ses défenses afin que le travail mis en place permette une construction solide et stable vers un esprit léger. En même temps, il est tout aussi important de prendre en considération l’environnement dans lequel la personne évolue et la relation qu’elle a, avec celui-ci. La thérapie ou l’accompagnement se déroule en face-à-face et est basée sur l’écoute, l’échange, la proposition d’outils pratiques pour aider la personne. Dans cet espace thérapeutique, vous pourrez vous voir sous un angle différent, grâce au regard du thérapeute qui vous accompagnera dans ce processus. L’idée est de ne plus se sentir étranger dans sa maison, comme incompris dans son propre corps, en société comme face à soi-même.
« L’idée de guérison renferme en elle quelque chose de figé. Comme s’il nous fallait revenir à un état précis et de normalité.
Et si la souffrance avait non seulement une cause, mais surtout un sens : celui de nous faire « devenir » ?C.G.Jung